Après avoir présenté dans un premier article les enjeux, le contexte réglementaire et les opportunités offertes par la norme VSME (Voluntary Standard for non-listed SMEs), nous vous proposons un décryptage de son contenu, ainsi qu’un premier retour d’expérience, notamment sur les outils numériques accompagnant le dispositif.
Souvent reléguée au second plan face aux enjeux climatiques ou énergétiques, la biodiversité reste l’un des piliers les plus négligés du développement durable. Pourtant, l’érosion du vivant compromet directement la résilience des écosystèmes, la sécurité alimentaire, la santé publique et les équilibres socio-économiques. Il est urgent de lui redonner la place qu’elle mérite dans les stratégies de transition.
La norme VSME (Voluntary Sustainability Reporting Standard for non-listed SMEs), publiée par l’EFRAG en décembre 2024, a été pensée comme un cadre de reporting volontaire à destination des TPE, PME et ETI non cotées, souvent exclues du champ réglementaire mais exposées à des attentes croissantes en matière de durabilité.
Face aux défis du numérique, une solution se dessine le « Numérique Responsable » ou « Green IT » en anglais. Ce concept introduit en 2014, regroupe un ensemble de pratiques visant à favoriser une utilisation plus réfléchie des technologies dans le but de réduire leur empreinte à la fois sociale et environnementale.
Il y a quelques années, l’Europe nous promettait un avenir durable et responsable, porté par le Green Deal, cette ambition historique visant à faire de l’UE le premier continent climatiquement neutre d’ici 2050. Nous étions au bord d’une révolution : des engagements clairs, des règles exigeantes, des entreprises transformées en acteurs de la transition.
Obtenir un label RSE ne relève pas d’une obligation légale, mais il constitue un outil stratégique pour les entreprises souhaitant formaliser et crédibiliser leur engagement. Mais alors quels bénéfices en retirer ?
L’achat responsable s’entend donc comme une démarche intégrant des critères éthiques, environnementaux, sociaux et économiques dans les décisions d’achat. Ce concept repose sur une approche systémique qui va au-delà du prix et de la qualité pour prendre en compte les impacts de la chaîne d’approvisionnement sur la Société et l’environnement.
La RSE s’appuie sur les trois piliers du développement durable : économique, social, et environnemental. Ces trois piliers se traduisent par des actions concrètes qui permettent non seulement de réduire les impacts négatifs de l’activité, mais aussi de générer de la valeur à long terme pour toutes les parties prenantes…